La voix de Nabisouberne reste dans nos têtes même après avoir refermé les dernières pages de ce roman. Plongée parfois dérangeante dans un Paris des années 60, pauvrement populaire. Plongée surtout dans l’atmosphère familiale et intime d’une petite fille si fragile. Elle traverse une enfance vide de sens, d’amour et de liens. L’envie alors de repartager la vision d’une romancière qui ne s’est pas arrêtée à l’écriture.
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